Si l'usage des étrennes nous vient des Romains (les premiers qui aient sacrifié à la déesse Strenna), celui des cartes de voeux agrémentées de quelques mots de politesse ou vierges de toute mention, et envoyées aux personnes avec qui l'on a eu commerce d'amitié ou d'affaires pendant l'année, vient de l'Extrême-Orient. Les Célestiaux se servaient bien avant nous de ces cartes autrefois dénommées cartes de visite ; seulement, chez eux, les cartes étaient de grandes feuilles de papier de riz, dont la dimension augmentait ou baissait suivant l'importance du destinataire et au milieu desquelles, avec des encres de plusieurs nuances, on écrivait les nom, prénoms et qualités de l'envoyeur. Il paraît que, quand la carte était à l'adresse d'un mandarin de 1ère classe, elle avait la dimension d'un de nos devants de cheminée !la suite
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au Japon ,Vous ne devez pas envoyez vos vœux à une famille qui a perdu un proche au cours de l’année.
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Les semaines qui suivent sont consacrées à la rédaction de carte de vœux du nouvel an, pour souhaiter une bonne année à ses amis et à ses proches. La rédaction de la carte de vœux a remplacé au XVIIe siècle les visites effectuées à domicile, visites qui étaient parfois effectuées par un gentilhomme embauché à cet effet.
La tradition des visites fut abolie durant quelques années, grâce aux efforts d'un député qui fustigea en 1791 l'hypocrisie et les fausses démonstrations des vœux du nouvel an. Fort heureusement la coutume séculaire des vœux de bonne année fut rétablie et elle perdure de nos jours. la suite
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au premier de l'an,fais deux crêpes pour avoir de l'argent
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bisous annick du62